Le stand de PNY expose une gamme de cartes graphiques au look inédit. Elles s’accompagnent d’un imposant dissipateur thermique chromé ultra brillant, accompagnés de ce qui ressemble à la signature imprimée du PDG de NVIDIA, Jensen Huang.
Disponibles au travers des références GeForce RTX 5090 et RTX 5080, ces cartes “exclusives” promettent un design haut de gamme et éclairage ARGB personnalisable.
À côté de ces GPU orientés gaming, la marque a dévoilé une version RTX PRO 6000 dotée elle aussi d’un carénage chromé, mais dépourvue de RGB. Elle se destine aux stations de travail.

Des RTX 5060 et 5060 Ti revisitées, et une surprise pour les petits formats
PNY a expose aussi des solutions milieu de gamme avec deux versions revisitées des GeForce RTX 5060 et RTX 5060 Ti. Ces modèles profitent d’un système de refroidissement à trois ventilateurs et s’habillent d’un carénage noir offrant une allure sobre.
Pour les configurations compactes, une édition ITX double slot de la RTX 5060 se démarque. Mesurant seulement 170 mm, elle s’adresse aux petits boîtiers ou l’espace est compté. Le carénage en métal chromé intègre de subtils accents ARGB, pilotables via l’utilitaire maison ARGB Sync.
Source : TechPowerUp
[ COMPUTEX 2025 : PNY dévoile des RTX 50 chromées et signées
Jensen Huang ]
Avis aux amateurs de bling bling et du culte d’un oligarque chinois de
Taïwan milliardaire corrompu (cf. entente de marché avec sa cousine
Lisa Su dirigeant AMD) à la rémunération pharaonique disposant d’un
diplôme de complaisance de l’université de Hong Kong et dont
l’entreprise verse un dividende misérable pour profiter des fonds de
pension américains contraint d’investir dans des entreprises versant
un dividende afin d’assurer une certaine liquidité à destination des
retraités américains…
A quand une reforme de la législation US sur les fonds de pension avec
l’obligation d’investir dans des entreprises au rendement du dividende
supérieur ou égal à 50 % de celui du coupon de bons du trésor à 10 ans?
En effet, le rendement du dividende est le tensiomètre de la santé
d’une entreprise cotée donc sa suppression ou quasi-suppression est de
facto un moyen de tromper les investisseurs.
Par ailleurs, il serait grand temps de mettre fin aux manipulations
financières improductives (cf. créations d’emplois) par l’obligation de
retrait de la cote pour une période d’au moins 5 ans tout rachat de ses
propres actions par une entreprise cotée.
De plus, celle-ci devrait être contraint de divulguer aux actionnaires
le coût des frais de courtage de ces rachats d’actions ainsi que les
noms des sociétés de courtage bénéficiaires afin de limiter le risque
de détournement de fond au détriment des actionnaires.
Une référence propre aux traces de doigts, aux rayures et à la poussière. Aucune plus value de performances, que ce soit dans les benchs ou thermique. Un article à l’esthétique discutable. Certainement vendues 4 bras au lieu de 3 et indisponible à l’achat pour 99.99% des usagers. PNY … vous n’avez rien pour vous, le clinquant et le jacky tuning c’est un marché qui existe encore ?