Pékin semble décidé à freiner définitivement l’usage des puces d’intelligence artificielle de NVIDIA sur son territoire. Selon un nouveau rapport, les autorités ont renforcé massivement les contrôles douaniers pour bloquer les expéditions de GPU du géant américain. Cela concerne notamment les modèles RTX 6000D et H20 pourtant spécifiquement conçus pour se conformer aux restrictions américaines sur les exportations de semi-conducteurs vers la Chine.
La situation de NVIDIA dans le pays se complique depuis ces derniers mois. Le géant est confronté à une enquête réglementaire sur la puce H20 AI tout en faisant face à des campagnes de persuasion menée par Pékin pour inciter les grandes entreprises technologiques nationales comme Tencent, ByteDance ou encore Alibaba à renoncer à ses produits au profit de solutions locales.
Des contrôles renforcés
Le rapport affirme que les douanes chinoises vérifient désormais chaque cargaison pour s’assurer qu’aucune entreprise locale ne commande illégalement de GPU à NVIDIA. Jusqu’à récemment, ces contrôles restaient limités, permettant à un marché parallèle de se développer. Il se dite qu’entre mai et août, près d’un milliard de dollars de puces NVIDIA auraient ainsi été introduits en contrebande sur le territoire.
Huawei et Cambricon en première ligne
Pékin veut absolument réduire sa dépendance à la technologie américaine. En réponse, Huawei et Cambricon accélèrent le développement de leurs propres solutions IA. Pour l’heure l’industrie chinoise peine encore à égaler les performances et l’écosystème complet de NVIDIA.
Cette dernière conserve en effet un avantage considérable, non seulement sur le plan matériel, mais aussi grâce à son écosystème logiciel verrouillé autour de CUDA, essentiel pour les applications d’IA. Malgré les avancées et les efforts d’Huawei pour créer des alternatives, la transition vers des technologiques entièrement nationales reste un objectif à long terme pour la Chine.




[ Malgré les avancées et les efforts d’Huawei pour créer des
alternatives, la transition vers des technologiques entièrement
nationales reste un objectif à long terme pour la Chine. ]
Sauf que la Chine ne fait rien pour lutter contre la fuite de ses
cerveaux se faisant plumer en masse par des frais d’inscription
excessifs dans les universités US au corps enseignant incompétent
cribblé de boomers aux capacités cognitives diminuées et de migrants
aux qualifications douteuses experts de l’ingénierie sociale à
l’instar de Brian Kernighan canadien de 83 ans pantouflant à Princeton
pour enseigner une vulgaire introduction à la programmation…
Soyons sérieux sa véritable place est dans un EHPAD canadien et non
dans une université US au milieu d’adulescents essentiellement
asiatiques accros aux jeux vidéos.
Tu viens ici pour régler tes comptes avec Brian Kernighan, va le voir directement 🙂
[ Tu viens ici pour régler tes comptes avec Brian Kernighan, va le voir
directement ]
T’es complètement à côté de la plaque car je déplore que nombre de
boomers de la tech aux capacités cognitives diminuées dont
Brian Kernighan (83 ans), Ken Thompson (82 ans), Bjarne Stroustrup
(74 ans) et bien d’autres encore ruinent leur “légende” en s’accrochant
misérablement à une gloriole du passé tandis qu’ils ne sont à présent
plus que l’ombre d’eux-même et malgré mon respect pour leur
contribution scientifique j’aurai préféré de loin qu’ils finissent
plus dignement leur carrière auprès de leurs proches…
Par ailleurs, je suis d’avis qu’il ne faut jamais rencontrer ses idoles
(e.g. Jésus Christ) ou alors le plus tard possible au risque de sombrer
dans le désespoir le plus total après une terrible déception… 😀