Les récentes entrées dans la base de données du benchmarks Geekbench confirment que NVIDIA s’apprête à lancer sa toute première puce Arm hautes performances. Elle est baptisée Grace Blackwell GB10. Cette « superpuce » est taillée pour le calcul intensif et les stations de travail.
Elle devrait faire ses débuts officiels au Computex 2025, prévu pour fin mai, aux côtés de deux déclinaisons orientées grand public : les GB10 N1 et GB10 N1X, conçues pour les ordinateurs portables et de bureau.
Un lancement stratégique avec ASUS, Dell et MediaTek
Selon Notebookcheck, ASUS et Dell auraient déjà intégré le GB10 dans des produits à venir, tandis que NVIDIA l’exploite dans son supercalculateur DIGITS AI, annoncé en janvier au CES 2025. Ce dernier, proposé à 2 999 $, serait commercialisé dès ce mois-ci.
MediaTek, qui collabore avec NVIDIA, a également confirmé la participation de son PDG, Rick Tsai, pour un discours clé au Computex, ce qui laisse penser à une annonce majeure conjointe autour de l’architecture GB10.

Les fuites révèlent que le GB10 embarque des cœurs Cortex-X925 cadencés jusqu’à 3,9 GHz, affichant des scores monocœur solides, au niveau des meilleures puces Arm et x86 actuelles.

Toutefois, les processeurs M4 Max d’Apple conservent une légère avance en performance brute par cœur.
Une anomalie dans les benchmarks indique encore une identification du chipset comme Armv8 au lieu de Armv9, ce qui pourrait être dû à des pilotes ou à une version préliminaire du système.
Avec cette solution GB10, Nvidia devrait faire une entrée remarquée sur le marché des processeurs Arm haut de gamme, un domaine où Apple, AMD et Intel sont déjà très présents. En visant les stations de travail, les ordinateurs portables premium et le calcul haute performance, NVIDIA souhaite imposer son architecture Grace Blackwell au-delà de la simple notion de GPU.
Pendant ce temps la baltringue de Washington fait la pause de 90 jours
la salopette à terre aux pieds du PCC sans aucune contre-partie
tangible sinon du baratin spéculatif aussitôt démenti par le régime
autoritaire de Beijing.
A quand la démission de Trump au profit de J.D. Vance?
En effet, les plans sociaux et les délocalisations eux ne font pas la
pause et les américains pourraient bien faire payer aux élections de
mi-mandat la trahison d’un milliardaire acceptant un pot-de-vin de
facto du Qatar (cf. avion Boeing de luxe aux aménagements décadents).
Si la maintenance de Air Force One coûte trop cher alors la présidence
des USA n’a qu’à lancer un appel d’offre pour souscrire un contrat de
location pour 4 ans.
Toute porte à croire que le régime Trump s’effondre sur lui-même
en l’absence de critiques internes chez les républicains sur
l’instabilité mentale de leur leader de 78 ans insultant
l’intelligence du peuple américain au sujet du pot-de-vin aérien
(avec escortes?) du Qatar et des pauses tout azimut de la souveraineté
commerciale des USA…
De plus, la libération d’un otage juif prétendu vivant muni d’un
passeport américain avec certainement une contre-partie fragilisant
la sécurité de l’état hébreu marque un point de rupture diplomatique.