Lors de sa sortie en août 2016, No Man’s Sky a suscité une vague de critiques en raison d’un contenu bien en deçà des promesses. Depuis, le studio Hello Games a multiplié les mises à jour, transformant progressivement l’expérience de jeu.
Aujourd’hui, le titre bénéficie d’une communauté fidèle et continue d’attirer des milliers d’explorateurs. En juin 2022, le cap des dix millions d’exemplaires vendus a été franchi, et sur Steam, plus de 10 000 joueurs parcourent quotidiennement l’univers généré de manière procédurale.
La paléontologie débarque
Avec la mise à jour 5.6 “Relics”, le jeu s’enrichit d’une nouvelle dimension : la paléontologie. Les joueurs peuvent désormais découvrir, assembler et collectionner des squelettes d’espèces extraterrestres disparues, voire créer leurs propres créatures. Cette chasse aux fossiles s’accompagne de la découverte de gardiens ressuscités, d’imposants golems de pierre veillant sur les vestiges de civilisations oubliées.
L’exploration prend une nouvelle tournure avec la société de paléologie galactique. Elle permet aux de vendre ses trouvailles sur les stations spatiales ou de les échanger contre d’autres artefacts. Les fossiles peuvent également être utilisés comme éléments de décoration, exposés dans des vitrines au sein des bases des joueurs.
Remaniement des stations spatiales abandonnées
Outre cet ajout majeur, la mise à jour apporte un remaniement des stations spatiales abandonnées, désormais dotées de stations d’amélioration pour l’exosquelette, le vaisseau spatial et l’outil multifonction. De nouvelles caisses de récupération offrent des améliorations précieuses, et les caches enfouies regorgent de technologies inédites.
Sur la carte de la galaxie, les systèmes violets sont désormais visibles par défaut, facilitant l’exploration des secteurs mystérieux. Enfin, certains mondes cachent une surprise inattendue : les fossiles ont pris vie, donnant naissance à des créatures squelettiques errant à la surface des planètes.