La fin de Windows 10 approche à grands pas. Microsoft prévoit de cesser le support gratuit du système d’exploitation le 14 octobre 2025. Cette date est redoutée par des centaines de millions d’utilisateurs à travers le monde, surtout ceux dont les PC ne sont pas compatibles avec Windows 11.
Face à la pression croissante des utilisateurs et d’organisations comme le Public Interest Research Group (PIRG), Microsoft a fini par céder partiellement. L’éditeur va prolonger les mises à jour de sécurité pour Windows 10 au-delà de 2025, mais uniquement sous certaines conditions.
Une mise à jour de sécurité gratuite… mais temporaire et partielle
Microsoft a confirmé qu’une « bouée de sauvetage » serait offerte sous la forme d’une année de mises à jour de sécurité gratuite. Elle sera proposée à ceux qui synchronisent leurs paramètres via leur compte Microsoft, notamment via OneDrive et Azure. Cela donne un sursis aux tous ceux qui n’ont pas encore migré.
A noter que le programme ESU était auparavant réservé aux entreprises, mais Microsoft le propose désormais aussi aux particuliers. Autre la synchronisation, pour continuer à bénéficier des mises à jour de sécurité après 2025, il faudra soit échanger 1 000 points Microsoft Rewards, soit s’acquitter de 30 dollars. Les écoles profiteront quant à elles de tarifs réduits.
Des critiques persistent sur la stratégie de Microsoft pour Windows 11
Pour Lucas Rockett Gutterman, porte-parole du PIRG, cette extension reste insuffisante. Le militant évoque un risque massif d’obsolescence électronique. Selon lui, plus de 400 millions de PC sous Windows 10 ne pourront tout simplement pas passer à Windows 11 à cause des exigences matérielles très strictes imposées par Microsoft.
Ce que Microsoft refuse encore de faire, c’est de prolonger automatiquement le support de Windows 10 ou d’assouplir les exigences matérielles de Windows 11.
Le PIRG dénonce une décision « commerciale, pas technique », puisque la mise à jour de sécurité reste possible, mais désormais conditionnée.
Windows 11 peine toujours à convaincre… et Linux guette
Malgré une adoption en hausse, Windows 11 ne dépasse toujours pas Windows 10. En juillet 2025, le nouveau système représentait 47,89 % du parc installé selon StatCounter, contre 48,76 % pour son prédécesseur. Microsoft pousse pourtant agressivement vers sa nouvelle génération de PC Copilot+, qui intègrent des fonctionnalités IA exclusives (Windows Recall, Click to Do et une recherche enrichie).
Mais le discours de Microsoft selon lequel « les PC sous Windows 11 sont jusqu’à 2,3 fois plus rapides » que ceux sous Windows 10 est largement remis en question.
La fin programmée de Windows 10 offre aussi une occasion à des alternatives comme Linux. Un collectif baptisé End of 10 appelle désormais les utilisateurs à quitter l’écosystème Microsoft pour adopter des distributions GNU/Linux, notamment sur les PC considérés comme obsolètes. Leur argument principal : une meilleure protection de la vie privée, sans publicité ni télémétrie invasive. Nous avons aussi des initiatives “linussiennes” du coté d’anciens developpeurs Microsoft comme AnduinOS.
[ Microsoft a confirmé qu’une “bouée de sauvetage” serait offerte sous
la forme d’une année de mises à jour de sécurité gratuite. Elle sera
proposée à ceux qui synchronisent leurs paramètres via leur compte
Microsoft, notamment via OneDrive et Azure. ]
Vive le tapin ou paiement en nature… prétendu gratuit.
Manifestement Micro$oft se comporte comme une entreprise de pédo
abusant de son autorité (cf. monopole des systèmes informatiques) pour
obtenir des relations avec des mineurs (cf. utilisateurs captifs).
[ Des critiques persistent sur la stratégie de Microsoft pour
Windows 11 ]
Si seulement cela ne concernait que Windaube 11…
La baltringue de Washington (aka TACO) n’a pas de quoi être fier en
ce 4 juillet 2025 puisque Micro$oft sous la direction indienne de
Satya Nadella grand exploitant et passeur de migrants via visa H1B a
annoncé un nouveau plan de licenciement massif de 9000+ employés dont
on peut lire sur les réseaux sociaux sont ciblés principalement des
travailleurs américains tandis que des migrants munis de visa H1B se
voient proposer des green cards.
#MakeIndiaGreatAgain
A vouloir sortir des versions le plus rapidement possible sans vraiment faire la chasse au vilain bug , Micro$oft mérite ce qu’il a en ce moment , une perte de confiance ; sans parler des exigences matériels de plus en plus strict ; micro$oft oublie que les utilisateurs , utilisatrices ne sont pas tous milliardaires et que l’on ne change pas de machine comme de chemise acheter chez carrouf , cela quelque soit le pays.
Que cette société commence déjà par viré tout les mouchards , télémétries , ainsi que l’obligation d’être connecter en permanence aux serveurs Micro$oft pour pouvoir utilisé sa machine via un compte obligatoire , ce qui rend l’utilisation de sont portable impossible si on n’a pas de connexion internet a moins d’avoir pus mettre en place un compte local , ce que Mr et Mme tout le monde ne save pas faire et pourtant c’est d’une simplicité au moment de la mise en service de la machine la première fois.
Une fois cela fait la machine retrouve de la vitesse et micro$oft y retrouvera de la confiance auprès des utilisateurs , utilisatrices.