Voici une très mauvaise nouvelle pour les joueurs. Sony vient d’annoncer une augmentation importante du prix de sa console PS5. Elle concerne plusieurs régions du monde dont l’Europe.
A partir d’aujourd’hui la console de jeu PS5 de Sony sera vendu 25% plus chère en Europe. Sony annonce une hausse du tarif de sa console vedette. Pour l’instant, elle touche l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Certains rapports évoquent aussi une augmentation du prix aux États-Unis d’au moins 30 %.

Sony justifie cet ajustement par « un contexte d’environnement économique difficile, y compris une inflation élevée et des taux de change fluctuants ». Le nouveau prix de la PS5 Digital Edition sera de 499,99 € dans la zone euro, 429,99 £ au Royaume-Uni, 749,95 AU $ en Australie et 859,95 $ NZ en Nouvelle-Zélande.
Sony n’a pas révélé les prix dans d’autres devises et dit plutôt de vérifier auprès de votre détaillant local pour les nouveaux prix. Pour l’instant, l’UE et le Royaume-Uni évitent les hausses de prix sur la PS5 avec un lecteur de disque Blu-ray Ultra, alors qu’en Australie, il passera à 829,95 $ US et en Nouvelle-Zélande, à 949,95 $ NZ. Sony augmentera également le prix du lecteur Blu-ray autonome à 79,99 €, 69,99 £, 124,95 AU $ et 139,95 $ NZ.
La PS5 Pro ne reçoit pas de hausse de prix pour le moment.
[ Pour l’instant, elle touche l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique,
l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Certains rapports évoquent aussi
une augmentation du prix aux États-Unis d’au moins 30 %. ]
Bien entendu ceci n’a aucun rapport avec le protectionnisme américain
source du ralentissement de l’expansion impérialiste de l’économie
chinoise sous la coupe du PCC…
A l’évidence le monde entier tout comme le Japon ferait mieux de se
découpler très rapidement de la Chine en investissement massivement
aux USA par des prises de participations minoritaires “sans risque”
dans des entreprises majeures telle que Intel (cf. fonderies) ou encore
US Steel (cf. acieries) éventuellement par la création de coentreprises
afin de profiter d’un partage équitable du savoir-faire.