Dans ce domaine, le PC-K67 excelle car la mise en œuvre de différentes techniques pour simplifier le montage s’avère payante avec du temps d’économisé et de la facilité de gagnée.
La carte mère trouve naturellement sa place avec comme visserie des vis à main de tailles différentes. Les plus longues s’utilisent aux endroits difficilement accessibles. L’aide d’un tournevis cruciforme pour cette partie rend service tout de même.
Un câble management efficace est proposé, composé de différents orifices (ventilateurs, câble +12 Volts CPU…) sur le plateau à carte mère mais également, et c’est la première fois que nous le voyons dans un boitier, d’une goulotte à l’arrière sur toute la hauteur du boitier.
Large et assez profonde, elle accueille sans mal la connectique de la carte mère et les câbles du bloc d’alimentation. De plus, son design permet de faire sortir les câbles à la hauteur que l’on souhaite, très pratique.
Le mode opératoire pour les disques durs 3,5 pouces et 2,5 pouces est identique.
Des vis à main avec rondelles en caoutchouc sont utilisées sur le côté pour le premier et en dessous pour le second.
Le disque se glisse alors dans la cage (ports SATA devant ou derrière selon ses désirs).
Un locket de fermeture assure leur maintien (sauf pour les unités 2,5 pouces) en cas de transport de la tour. Les deux cages sont amovibles par un système de vis à main également. Il y a deux cages pouvant être modulables.
Le bloc d’alimentation s’installe au bas du boitier sur deux rails avec revêtement caoutchouté. Sa fixation se fait soit par quatre vis ou avec le support pour bloc. Cette sorte de « ceinture » prend appui sur le panneau arrière et s’accroche dans une entaille spécifique. Quelques secondes suffisent pour assurer une fixation diablement efficace.
Les cartes filles ne sont pas en reste non plus puisque sept ports d’extension, avec équerre à fente, s’équipent de loquets en aluminium. La carte s’enfonce dans son emplacement PCI Express puis se verrouille. C’est rapide et sûr.
Il ne reste désormais plus qu’à installer la lecture optique. Il faudra ici jouer du tournevis sur un des côtés du boitier.
Chaque ventilateur peut se brancher en Molex ou directement sur la carte mère (connecteur 3-pins). Nous regrettons, vu leur nombre, qu’un système de centralisation soit utilisé, un peu à la manière de celui proposé dans l’Elysium de Xigmatek. De plus, il n’y a pas de régulation de la ventilation, ni la possibilité d’éteindre les LEDs. Ceci est bien dommage car l’empreinte carbone du boitier en prend un coup.
Enfin, il faut organiser le passage des câbles. Cette opération est ici simplifiée avec la présence d’une goulotte à l’arrière.
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